top of page
Yohann Hautbois

Le hasard fait bien les choses, souvent. Et c'est donc par au détour d'une virée photo que j'ai découvert ce bistrot, près des Tuileries, dans les beaux quartiers parisiens. Sauf qu'il est en marge de tous les commerces de luxe du coin. Les frangins, Michel et Hubert, y vivent et y travaillent, leurs parents avant eux (le papa est décédé l'an dernier, la maman continue d'oeuvrer en cuisine) depuis 1966 et leur arrivée de leur Lozère natale. Et, en près de soixante ans, rien n'a changé ou presque. Pas ou peu de réseau, wifi interdit, carte bancaire proscrite mais un distributeur de cacahuètes (une pièce de cinquante centimes d'euros), la "Lozère Nouvelle", journal distribué avec trois jours de retard...

bottom of page